Projets

Pourquoi devrons-nous nous soucier de ces 4 projets

  • L’analphabétisme au Congo est un problème majeur qui s’est aggravé suite aux guerres.
  • Les femmes sont les premières à souffrir de ce fléau car elles ne bénéficient que rarement d’un accès à l’éducation et se trouvent particulièrement vulnérables sur le plan socioéconomique.
  • Le progrès et la croissance du pays et du continent dépendent en partie de l'éducation de ses habitants
  • D'après la Banque mondiale, la proportion de la population congolaise vivant en dessous du seuil de pauvreté atteignait 77,2% en 2012.
  • Le secteur agricole constitue un des principaux piliers de l’activité économique, représentant 45,1% du PIB en 2018 et 2019.
  • Malgré l’importance de l’agriculture dans le PIB, 75 % de la population souffre d’insécurité alimentaire.
  • L'incidence de la pauvreté est établie en moyenne à 80% et le taux de chômage à 84%.
  • Le marché combiné des vêtements et des chaussures en Afrique subsaharienne est estimé à 31 milliards de dollars américains selon les données de Euromonitor International.
  • La production de coton s’étend à l’ensemble du continent : 37 des 54 pays africains en produisent, et 30 en sont des exportateurs. Cependant, le continent africain ne représente qu’environ 16 % du vaste marché des textiles au niveau mondial, estimé à 1,6 milliard de dollars en 2015, contre près de 60 % pour l’Asie-Pacifique

Objectif

  • Apprendre aux femmes maraichères analphabètes à apprendre à lire et écrire.
  • Donner aux femmes paysannes les moyens d’améliorer leurs capacités organisationnelles.
  • Leur permettre d’améliorer la gestion de leurs exploitations familiales, d’accroître leurs revenus et de prendre ainsi en charge leur propre développement.
  • Favoriser un changement socio-économique dans les ménages et renforcer la place de la femme au sein des ménages.
  • Offrir de denrées fraiches de qualité, distribuées auprès des familles à faible revenu.
  • Création d'emploi de jeunes femmes et de filles-mères
  • Valorisation de la femme congolaise
  • Aider les stylistes locaux a valorisé leurs créations
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